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L'adhésion du public à notre démarche sur Outreau autorise à espérer bien plus encore : que les citoyens osent se servir sans crainte de ce nouvel instrument de leur démocratie, et surtout, que les institutions démocratiques acceptent d'ouvrir leurs portes en grand cette année. Nous sommes candidats à la retransmission en direct intégral d'une réunion de la commission Barroso pour voir l'Europe se construire, d'un comité interministériel à Matignon, ou même des réunions qui fixent les salaires des fonctionnaires, le prix de la carte orange, ou encore les négociations syndicales avec la direction de la SNCF la veille des grèves. En 2006, la démocratie à la télévision devient enfin une réalité pour les citoyens. Grâce aux progrès technologiques, tout d'abord (la TNT gratuite, la télévision par ADSL, mais aussi le câble, le satellite, la télévision sur le mobile, Internet ou le vidéopodcast). Par l'actualité, ensuite, avec la préparation des campagnes électorales. Chacun son rôle : à nous, la comparaison systématique et illustrée des propositions de chacun sur le pouvoir d'achat, la sécurité, l'immigration, la cohésion sociale, l'école, l'environnement Avec C-Span aux Etats-Unis, C-PAC au Canada ou Phoenix en Allemagne, les grandes démocraties ont su ancrer leur chaîne parlementaire dans leur paysage audiovisuel. Nous sommes en train de faire de même. Chaussure lacoste
Yvon Gattaz a imaginé la lettre d'un lycéen favorable au contrat première embauche. Mes copains, c'est sûr, vont me tirer les oreilles, car la majorité doit normalement rester silencieuse et laisser hurler les virulents, même si ceux-ci sont très minoritaires dans nos rangs. Or, on sait que 2 000 d'entre nous, les syndiqués, souvent politisés, vont défiler «contre», mais nous sommes plus de deux millions de lycéens en France. Un pour mille, est-ce une représentation honorable ? Qu'en pensent les 1 998 000 copains de lycée ? Et même s'ils étaient 20 000, ils ne représenteraient que 1% de nos effectifs. Yvon Gattaz a imaginé la lettre d'un lycéen favorable au contrat première embauche. Mes copains, c'est sûr, vont me tirer les oreilles, car la majorité doit normalement rester silencieuse et laisser hurler les virulents, même si ceux-ci sont très minoritaires dans nos rangs. Or, on sait que 2 000 d'entre nous, les syndiqués, souvent politisés, vont défiler «contre», mais nous sommes plus de deux millions de lycéens en France. Chaussure lacoste homme Un pour mille, est-ce une représentation honorable ? Qu'en pensent les 1 998 000 copains de lycée ? Et même s'ils étaient 20 000, ils ne représenteraient que 1% de nos effectifs. Crédits photo : Photo Reuters.Arcelor a beau être au centre d'une bataille boursière, comme les autres entreprises du secteur, elle continue à recruter. Notamment des ingénieurs. MÊME S'IL EST en perpétuelle restructuration, le secteur de la sidérurgie embauche toujours en France. Pas moins de 30 000 personnes sont employées dans des aciéries. Le niveau des qualifications a néanmoins beaucoup évolué. Chaussure lacoste femme
«L'industrie embauche notamment des bac+ 2 ou bac+ 5» explique Didier Zint secrétaire général de la CFDT-Métallurgie, dont le père était ouvrier dans la sidérurgie. Lui-même a un Bac+ 2 et son fils, Bac+ 5 est actuellement en stage chez Arcelor.Chaque année, Arcelor le numéro deux mondial de l'acier embauche une centaine de diplômés en France et un peu plus de 200 sur ses sites européens. L'Ecole supérieure de fonderie et de forge loue ainsi la possibilité «de faire carrière dans le domaine de la conception et de la mise en forme des matériaux, occuper un poste au bureau des méthodes, en production, dans un service qualité, à la gestion de projets, en recherche appliquée, évoluer dans un milieu proche des réalités industrielles assurer plus tard dans l'entreprise des fonctions à haut niveau de responsabilité, incluant en particulier le management des hommes».A la sortie de l'école, un ingénieur ESFF peut espérer en moyenne 30 000 euros brut par an. Le secteur est «une excellente opportunité pour ceux qui veulent bouger», conclut Didier Zint. Les principaux employeurs sont en effet de grandes multinationales pratiquant beaucoup l'expatriation.